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Fromage

Michel HOUSSAY, un ami avec qui j’ai travaillé relate ses achats extraordinaires sur ce site INTERNET…

Moi je voudrai témoigner d’une blague qui m’a été faite, cette dernière vaut son pesant d’or. Et on pourrait en faire tout un fromage…Mais ! ! !…

Cela s’est passé entre novembre 1971 et avril 1972…

Les problèmes rencontrés sur le système d’oxygène du JAGUAR (ce dernier était commun avec le MIRAGE F1), nous amenait souvent à rencontrer la Société B.O.C. cette dernière se trouvant à HARLOW qui est devenue ville jumelle de VELIZY-VILLACOUBlAY par la suite.

Donc nous partions souvent avec le regretté Maurice PROSPERT pour des réunions longues et difficiles, mais toujours amicales avec nos coopérants anglais.

Prévoyant et méfiant, car n’étant pas le dernier à faire des blagues au B.E…

J’avais toujours pour ce genre de déplacement 2 bagages.

Un comportait les ordres du jour pour les réunions, et l’autre fermé à clé possédait mes affaires personnelles.

Le soir, arrivé à l’hôtel « SAXON-INN », je n’avais donc pas à me soucier du travail prévu, car tout était en ordre. La soirées terminée, je dormais tranquille en attendant le lendemain matin, où là, nos amis de la B.O.C. et de la B.A.C. venaient nous chercher…Et nos réunions de travail commençaient.

Hors ce jour-là, en début de réunion dans mon porte-documents, une enveloppe m’intrigue, car je ne me rappelai pas ce que j’avais pu y mettre dedans.

Enfin bref, la réunion commence …

Et là : SURPRISE ! ! !…car il y avait à l’intérieur de cette dernière un splendide « crottin de chèvre ». Ce dernier était à point et je dois reconnaître que sous l’œil amusé de ce cher Maurice PROSPERT qui découvrait la plaisanterie en même temps que moi, nous avons bien rigolé ensemble.

Le plus dur a été de me débarrasser de ce fromage, avec certains regrets car l’amateur de ce genre de « produits » fait que j’aurai aimé le déguster…Enfin ceci est une autre histoire…

A l’heure actuelle, j’ai évoqué « x » fois cette anecdote, mais personne ne s’est manifestée jusqu’à ce jour. Donc je ne sais toujours pas qui m’a fait cette bonne blague…

Mais que cette dernière soit rassurée car je ne lui en veux pas, car grâce à elle j’ai peut-être été le 1er importateur d’un produit dont nos amis anglais manquent, mais qui malheureusement a terminé sa vie dans les toilettes de la B.O.C…

Enfin cela reste un très bon souvenir…